20 décembre 2022 – Cette nouvelle édition est intitulée « Approche ESG, une bouée pour la finance d’entreprise ? » L’Europe vise une société neutre en carbone d’ici 2050. Ceci implique une transformation radicale dans la façon de produire et de consommer.
Le temps de la « liberté insouciante » est définitivement révolu. Aujourd’hui déjà, de plus en plus de pouvoirs publics, qu’ils soient européens ou locaux, exigent des entreprises et des organisations qu’elles adaptent leur stratégie, leurs politiques et leurs opérations aux critères ESG. En d’autres termes, vous devez vous assurer que votre entreprise contribue à l’environnement et que vos activités sont respectueuses de l’environnement (Environment), que vous traitez votre capital humain avec respect (Social) et que vous gérez votre organisation de manière saine (Governance)… et que vous communiquez et rendez compte de ces choix de manière transparente.
Même si vous n’êtes pas (encore) tenu de le faire en tant qu’entreprise, cela peut faire toute la différence entre obtenir ou non un financement.
Par où commencer ? À quel moment ? Qu’est-ce qui est durable, qu’est-ce qui ne l’est pas ? Laissez-vous inspirer par une sélection d’articles de la dernière édition du magazine REFLECT de la FEB.
Se préoccuper uniquement des apparences peut être fatal
Le reporting non financier offre des avantages à l’entreprise, à ses actionnaires, aux consommateurs, aux clients, aux partenaires et aux travailleurs. Un reporting fort et authentique renforce le permis social d’exploitation. Son coût s’en trouve d’emblée justifié. <lire plus>
Sélectionner des indicateurs pertinents pour l’entreprise
Identifiez vos parties prenantes (internes et externes), effectuez l’analyse de matérialité et rédigez le rapport. Cela semble simple, mais ça ne l’est pas. Agristo, producteur de produits de pommes de terre surgelés, donne quatre conseils pratiques.<lire plus>
Le reporting ESG vu par Febelfin
« Ceux qui persistent à penser à court terme ne tiendront que trois ou quatre ans tout au plus. » Karel Baert & Tom Van Den Berghe ne mâchent pas leurs mots. En effet, un manque d’entrepreneuriat durable peut se traduire par des risques financiers plus élevés pour l’entreprise et ses parties prenantes. <lire plus>
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